La nuit se lève, les vents s’écoulent
Par: Lakhpin
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La paix se dine pour qui rêvent
Minus de jupes circulaires
Ce sont des genres des victimes.
La vie heureuse stabilise
La paix lyrique se maitrise
Pour les rimes de l’ambiance
Et la colère de l’hospice
Les voix disent chaque minute
De la vie elle de chaque poète
Qu’il volera des assiettes
De la bataille des malhonnêtes
Comme des âmes de l’Afrique
Ce poète qui fabrique
Et les enfers de l’Amérique
Prend salaire des poétiques
La douceur du vent qui sillonne
Comme un vrai veau s’entraine
Aux enfants plus lointaines
Et des savants se promènent
Oh ! Ce jour sera maudit
Et les valeurs de cette élite
Seront maudites ceux qui l’imitent
Ainsi brutes seront craintes.
L’artiste en ces mieux jours
Retient la façon de chaque jour
En âmes bonnes disant bonjour
Perdant peine aux en jours
Ce jour ci, ce temps ci
Il y a tas de temps plein de crises
Que le poète a pris de remises
Aux voix basses qui s’interdisent
L’interdit prend besogne
Aux gens faucheurs comme cognes
Enlevant même cette trogne
Jusqu’au jour du cercueil.
Ne penses pas de son accueil
Comme il l’a dit chaque recueil
Joignant même plus de seuil
Pleurant autant de deuil
Les génisses noires sues de coup d’œil
En ce jour prennent plus de trouille
Meilleures choses plus de ses entailles
Et ses patrons bons en batailles
Mes chaises, mes écoles
Ma some est en échelle
Vrai comme une hirondelle
Perroquants joignant paroles
De cette scène autant de luttes
Pepinant même chaque burette
Des voix douces aux statuettes
Conseils pleins des camionnettes.
La vie misère de son époque
Qui suggère de ce quiconque
Comme des boats en pacifique
Voyant bord de l’Afrique.
L’eau coule de bonne étendue
Et la misère qui est défendue
Et l’envie même ne sera pas vendue,
Qui survolent soient pas bandits
La vie maudite de tout poète
Qui, décisif comme allumettes
Dans le futur des pionnistes
Vit en villes des choristes
Chaque poète a sa petitesse
N’osant de jour d’allégresse
Milieu dur de l’ivresse
Perdant robes de l’angoisse
C’est le poète dans toutes craintes
Que survivent beaucoup de doutes
Fermant donc l’art des mythes
Et la légende prend limites
Vu la vie saine des emballages
Fouille des lacs de barrages
Ouvre même tires de nages
Et maitrise marche aux nuages
Tonneau des robes qu’il englobe
Et les messages de ce globe
Se fait des vases et qui incombent
Et la redite des microbes
Surmenage n’ose plus l’attaque
Et la fatigue qu’il stoque
Louer nature c’est son bloc
Et le décor fantastique
O ! Cette date pleine d’auroles
Le poète prend morale
Aux manifestes d’un mondial
C’est la douceur banale
Le jour même de la pénitence
Pas malheurs de l’injurence
Son aide forte qu’une ambulance
Jours pareils dans l’ambiance
La vie sottise de l’ignorance
Les sommes intimes sont en carence
Plus de victimes en violences
Mais la sagesse et surveillance
Enfin copule que des milices
Dans la nature s’entrelacent
Sa meilleure rose est en secousses
S’entraine même la vie des danses
Comme les oiseaux du ciel
Ils s’envolent comme pareil
A la vitesse rationnelle
Et le silence de l’attirail
Ne vagabonde que des ramages
L’union lourde comme allumage
Courant de danses de l’outillage
Et niant donc le servage.
Par: Lakhpin
©2008 Lakhpin